Lolly Wish & George Bangable : les icônes glamour de Marie’s Corner
Quand deux figures du burlesque prêtent leur visage à la marque belge de canapés design, cela donne une campagne totalement décalée qui marque les esprits.
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MARIE'S CORNER
Rencontre avec la sensuelle Lolly Wish dans les coulisses d’un shooting photo pas comme les autres!
C’est une petite révolution dans le monde de la décoration. Les photos qui illustrent les créations des marques de mobilier se limitent bien souvent à la nature morte. Sortir du lot n’est pas chose facile. C’est pourquoi, Marie’s Corner, qui vient de fêter ses 25 ans, ose aujourd’hui créer une nouvelle image forte pour mettre en lumière sa belgitude et son savoir-faire. Née d’une belle rencontre entre la marque et les deux personnalités belges qui font chavirer le Crazy Horse à Paris, cette nouvelle campagne ne passera sûrement pas inaperçue.
Qui êtes-vous Lolly Wish?
Je suis effeuilleuse burlesque et artiste music-hall depuis 8 ans à Paris. Avec mon complice George Bangable, on a eu l’audace d’organiser des soirées sur ce thème en Belgique, notamment à L’Archiduc, rue Antoine Dansaert dans le centre de Bruxelles. De fil en aiguille, on s’est fait connaître aussi bien chez nous qu’à Paris. Il y a plus d’un an, le Crazy Horse m’a contacté pour interpréter une chanson pour le spectacle de Chantal Thomass. C’est là que j’ai fait mes premiers pas dans le cabaret mythique. Comble de la reconnaissance, George et moi avons ensuite été recontactés pour une soirée de Nouvel An, puis de Saint-Valentin… pour enfin faire partie de la revue à l’année.
Nous sommes fans de la marque depuis déjà plus de 15 ans. À l’époque, c’était la première fois que l’on découvrait des canapés type “chesterfield avec des couleurs ultra-pop : rose, vert, jaune… Jamais on n’avait vu ça ailleurs. George et moi sommes passionnés de décoration et on était complètement dingues de cette marque belge même si, à l’époque, on n’avait pas forcément les moyens de nous offrir cette qualité. Cela ne nous empêchait pas d’aller voir les boutiques que l’on trouvait avant-gardistes et très inspirantes.
Comment s’est passée la rencontre?
Récemment, une amie nous a mis en contact avec Serge Silber, CEO de Marie’s Corner et Philippe Vanhemelen, directeur des finances et de la production. C’était pour moi une évidence de me présenter à eux avec les nombreuses idées que j’avais déjà en tête. J’avais envie de leur proposer quelque chose de complètement différent. Mon idée était de choquer… que ça plaise ou que ça déplaise! C’était un grand défi. Je leur ai d’abord demandé de me montrer toutes les collections de canapés, les couleurs, les tissus: je voulais tout savoir.
Quel était votre fil rouge?
Pour moi, la marque Marie’s Corner se devait à nouveau d’être audacieuse, sophistiquée, pop… mais surtout jouer sur son point fort: le sur-mesure. Aujourd’hui, beaucoup de gens sont blasés du commun. Nombreux sont ceux qui aiment les créations de plus en plus personnalisées. Avec la mode, on peut déjà s’approprier sa paire de baskets, son sac… C’est une véritable tendance. Dans ce domaine, Marie’s Corner est un pionnier puisqu’on peut tout choisir de son canapé. Modèle, couleur, tissu, avec franges ou non, neuf coloris de pieds: chaque personnalité peut s’épanouir à travers ses envies.
Comment cette idée a-t-elle pris vie?
À travers nos deux personnalités, bien sûr! Cela s’est retranscrit avec un canapé bicolore, bi-matière, avec des franges d’un côté, un tissu plus doux de l’autre. On avait aussi envie de revisiter les codes du féminisme à travers notre duo. Mais aussi de retranscrire l’évolution de notre société où la femme prend beaucoup de place… sans pour autant écraser l’homme. Les équipes de Marie’s Corner nous ont donc fabriqué un canapé sur-mesure deux tiers féminin et un tiers masculin. Nous avons également pensé à d’autres idées sur des thématiques de couleurs qui apparaîtront au cours de l’année.
C’était la première fois que Marie’s Corner travaillait avec des sujets pour un shooting. Maquillage, cheveux, stylisme… ce sont énormément de préparatifs. Le détail rigolo est que j’avais choisi de poser allongée sur le canapé avec un corset, ce qui n’est évidemment pas des plus pratique (rires)!
Quel sera le slogan phare de la campagne?
“Du confort au tissu, c’est madame qui choisit… Et monsieur aussi !?”. Ça donne le ton!
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